Le 2 avril, le Trabendo, Paris
A propos de
Déjà comparée à Lana Del Rey et London Grammar, Alma Elste a été élevé à Paris avec la double nationalité Franco Américaine. Son grand père qui était pianiste lui a enseigné les artistes classiques tels que Bach et Schumann lorsqu'elle était petite. À l'aube du dernier siècle, des artistes comme Phoenix et Daft Punk se sont rapidement imposés à Paris comme une source de fierté nationale, c'était alors l'occasion pour Alma de s'ouvrir aux possibilités de la musique électronique. Ayant de la famille de chaque coté de l'océan atlantique, une rupture s'effectue entre une voie plus classique (Son diplôme en Philosophie à Paris et un été passé à étudier l'harmonie à la prestigieuse école de musique de Berklee) et une plus romantique. Elle déménage à New York pour un moment ce qui influence fortement ses compositions qui se cristallisent au sein de sa chanson « Heart Melter » soutenue par Radio 1.
De retour avec « Limitless », un titre à la pop sombre et palpitante qui nous fait penser à James Blake et SOHN. C'est aussi une ode à la nature destructive des relations longues qui s'essoufflent, laissant une moitié du couple dévastée. Alma laisse entrevoir une lueur d'espoir au bout du tunnel : « Peut être que ceux qui sont les plus dévastés dans une relation sont les véritables soldats. Pour moi « Limitless » est comme un combat, c'est à propos de la lutte par laquelle nous passons quand on aime vraiment une personne, acceptant de repousser et dépasser nos limites alors même que nous nous pensions incapable d'un tel courage. C'est aussi une façon d'avouer à l'autre qu'on se voit à travers lui. Avoir le cœur brisé ne signifie pas que l'on est perdu mais plutôt que l'on sortira plus fort de cette histoire que la personne qui nous a fait du mal. »
Mais encore
