A propos de
A l'occasion de leurs 20 ans et en hommage aux fidèles de la première heure, les éditions de l'Épure ont invité plus de soixante libraires à devenir auteurs, le temps d'une double page. Ainsi à partir d'un extrait littéraire et culinaire, chacun y révèle sa recette et son livre de cuisine de référence, dévoilant un peu de sa personnalité gustative. On y (re)découvre, entre autres, "Le Festin de Babette" et les fameuses cailles en sarcophage, "Sous le soleil des Scorta" et une tarte tomate-basilic, "Peau d'âne" et une brioche d'amour, "Les Liaisons culinaires" et une recette d'épaule d'agneau rôtie aux pommes de terre...
Parmi ceux qui se sont prêtés au jeu – libraires au Livre écarlate, au Bateau livre et au Genre urbain, à la Librairie gourmande, au Bleuet ou à la Hune, pour ne citer qu'eux, et qui viennent des quatre coins de la France, de Belgique, d'Autriche ou du Canada –, on reconnaîtra aisément l'amateur de bonne chère, le pressé, l'amoureux des traditions culinaires de sa région, celle qui ne changera pour rien au monde sa recette de gâteau, celui qui voyage avec de simples épices...
Carte de visite
Date de parution : 21/10/2011.
Editeur : L'epure.
A propos de
Troussé à la façon d'un polar, "San-Antonio se met à table" apparaît comme un livre de cuisine atypique qui met en exergue combien les San-Antonio, en plus de leur vocation policière, sont des romans de chair et de chère, véritables hymnes aux gourmandises de la vie et aux nourritures terrestres.
La somme de reéflexions autour de la nourriture recueillie au fil de la saga forme un témoignage qui se révèle être une analyse fine et pertinente de la manière de s'alimenter des Français depuis l'après-guerre jusqu'au xxie siècle (le premier opus date de 1949, le dernier de 1999), soit cinquante ans d'instantanés" qui saisissent autant de petites vérités éphémères, comme ceux de Doisneau.
Une sorte de formidable devoir de mémoire.
Carte de visite
Date de parution : 24/03/2011.
Editeur : L'epure.
A propos de
A vous de déguster les huitres de Cancale, tout juste sorties de la mer. Un conseil : mordez dans la chair – les professionnels disent le "poisson" – pour apprécier pleinement toute sa saveur iodée. Mais sachez que depuis très longtemps les huitres se cuisinent de nombreuses façons. Vous trouverez dans cet opuscule des recettes, simples et originales.
10 recettes
Cancale sur un plateau
Velouté de verdure de printemps
Ecume d'huîtres 'muscadée'
Huîtres 'à la parmesane'
Huîtres en gelée
Huîtres 'à la brûle-doigts'
Huîtres en marinière tiède
Tartare d'huîtres
Huîtres au caviar d'aubergine
Ecrasé de pommes de terre aux huîtres
Carte de visite
Année de parution : 2007
Editeur : Les Editions de l'Epure
A propos de
Par les temps qui courent et la désaffection des églises, voici un bréviaire dédié à redonner du lustre aux gens de foi. Ou comment, nonnes, pères, bonnes sœurs, moines, frères et autres prélats, vous délivrent ici leurs recettes sucrées et variées acquises tout au long de leur dur sacerdoce dans la célébration des fêtes religieuses.
Empreintes de simplicité et ne nécessitant que peu d'ingrédients, ces 22 recettes vous rappelleront, peut-être, les fameux dimanches, ou enfants, après la messe, avec toute la famille, nous allions à la pâtisserie acheter le gâteau dominical. Le péché de gourmandise est bien le moindre défaut de tous ces gens d'église, car ils sont souvent passés par des vies dissolues avant de trouver le droit chemin et d'entendre les voies et voix du seigneur. Leurs recettes sont a la hauteur de leurs péchés, souvent mortels, surtout pour les autres !
Carte de visite
Année de parution : 2013.
Editeur : Les Editions de l'Epure.
C'est le moment de porter un toast. On boit cul sec et on recommence si besoin. Et surtout on ne jette pas son verre par-dessus son épaule car c'est onéreux et ridicule. Et puis on passe en cuisine. Rappelons-le ; il faut boire cul sec, mais il faut savoir boire sur le temps. Pendant que les champignons se mettent à chanter, que les poissons dorent et que la soupe réchauffe...
A propos de
Un vieux proverbe russe dit à peu près cela : « Le thé, ce n'st pas de la vodka, on ne peut pas en boire à volonté. » Un second affirme : « Il y a deux raisons pour boire de la vodka, quand on mange, et quand on ne mange pas. » Et j'ai presque envie d'ajouter que l'on eut boire de la vodka à table, même s'il n'y a pas de table. Et deux gastronomes russe en exil, pour qui j'ai la plus vive sympathie, ont ajouté : « Le procédé culinaire qui consiste à associer de l'alcool à un plat ou à un autre a été porté par la cuisine russe. » Aussi associons, avec la modération qui s'impose – et que l'on nous impose -, cuisinons et goûtons sans gêne. Gastronomie oblige !
La vodka, qui signifie « petite eau », est une eau-de-vie, le plus souvent un alcool de grain que l'on peut parfumer de fruits, d'herbes ou d'épices. Les Russes et les Polonais se disputent sa création, pourtant on trouve trace de Vodka dans l'Égypte ancienne. Au XVIe siècle, Ivan le Terrible fit construire la première taverne qui servit de la vodka. Dans le même temps, il vit développer les distilleries sous le contrôle de l'État. La vodka venait d'entrer dans l'histoire économique et culturelle de la Russie.
Carte de visite
Année de parution : 2007
Editeur : Les Editions de l'Epure